Fertilité

Revues générales
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On sait aujourd’hui pratiquement tout faire en assistance médicale à la procréation (AMP), mais deux domaines restent problématiques : l’implantation embryonnaire et la stimulation hormonale en cas d’insuffisance ovarienne.
En choisissant de congeler les ovocytes ou embryons obtenus par la stimulation ovarienne, on transfère secondairement des embryons sur un endomètre plus synchrone par rapport au développement embryonnaire et on améliore ainsi les taux de grossesse, en diminuant le risque d’hyperstimulation ovarienne.
En cas d’insuffisance ovarienne débutante, la stimulation ovarienne reste peu performante. L’alternative est représentée aujourd’hui par le don d’ovocytes (dont la pénurie sera peut-être évitée par le stockage d’ovocytes vitrifiés) et demain par l’obtention de gamètes artificiels.

Analyse bibliographique
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La chirurgie reste un moyen efficace de traiter l’endométriose, mais certains suggèrent que l’incision d’endométriomes est responsable de dommages sur la réserve ovarienne.
Par ailleurs, cette chirurgie aurait tendance à diminuer l’âge d’apparition de la ménopause, d’après une étude récente sur 239 femmes ayant subi une telle intervention.
Le but de cette étude est de déterminer l’impact au long terme de différentes chirurgies d’endométriomes ovariens, sur la fertilité et l’âge de la ménopause.