Sexologie

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La déprivation œstrogénique impacte la vie sexuelle : sécheresse vaginale, dyspareunies et troubles de la libido. Ce phénomène survient chez les femmes après la ménopause et également chez celles traitées pour un cancer du sein par hormonothérapie adjuvante. Le traitement par acide hyaluronique sur la sphère génitale apporte une solution efficace grâce à la réhydratation vaginale.

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Nos pratiques sexuelles se sont largement diversifiées au cours des dernières décennies. Le contexte global de notre sexualité a évolué lui aussi, profondément bouleversé par les changements de nos représentations de la masculinité, de la féminité et de notre société. À l’ère d’internet, des objets connectés et de la fluctuation du genre, qu’est devenue notre sexualité ?

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Les pédiatres (ou les médecins traitants) sont en première ligne pour bien des champs de la santé physique et psychique, tant en termes de prise en charge que de prévention. La sexualité est un de ces champs. Elle est souvent peu questionnée du fait d’un sentiment d’illégitimité et d’incompréhension des évolutions de la sexualité chez les adolescents.
Nous entendons sans cesse que la sexualité des adolescents d’aujourd’hui est différente de celle des générations précédentes. Est-ce vraiment le cas ? Nous essayerons de mieux comprendre dans quelle mesure le pédiatre doit aborder ces questions et quels sont les risques liés à cette tranche d’âge particulière qu’est l’adolescence vis-à-vis de la sexualité. Ces données nous permettront de dégager des outils utiles au clinicien pour aborder la sexualité en consultation avec un adolescent.

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La sexologie pose des questions inédites à la médecine classique, celles de la santé sexuelle, de la gestion du désir, du plaisir… Se défaire du préjugé que les difficultés sexuelles ont peu d’importance permet le dépistage et l’écoute de la plainte sexuelle, plus ou moins masquée, et facilite la prise en charge précoce.
Sans s’impliquer toujours dans la gestion complète des difficultés et troubles sexuels, il faut connaître les principes de l’approche sexologique pour pouvoir confier ses patients à un correspondant, quand cela est nécessaire. Elle est essentielle à la pratique de nombreuses spécialités médicales, en particulier au gynécologue et au psychiatre.
L’interaction souhaitable entre différentes spécialités médicales, mais aussi des points de vue différents, permet de nous enrichir de mesures thérapeutiques efficaces pour le bien-être de nos patients.

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La sexologie et, plus largement, la sexualité de nos patients conserve de larges parts d’ombres, peu d’études étant lancées sur ce sujet. Les médecins manquent d’information, et pourtant ils sont bien placés pour parler de cette santé sexuelle définie par l’OMS. Beaucoup d’idées reçues sont à rectifier auprès de nos patients. Par exemple l’éjaculation féminine existe, et correspond à une vidange orgasmique de la vessie.
La masturbation a été expérimentée par plus de la moitié des hommes et des femmes, mais n’est une pratique fréquente que chez une assez large minorité. Près de la moitié des femmes se plaignent d’un désir sexuel hypoactif (DSH), au point que l’on peut se demander si le désir idéal, tel qu’il est fantasmé par les femmes, n’est pas un leurre. Et l’orgasme coïtal féminin n’est connu que d’une femme sur 3.