
La loi de bioéthique, deux ans plus tard
Cette loi, votée en septembre 2021, apporte des changements notables dans le domaine de la gynécologie-obstétrique, en particulier dans celui des PMA. Même si l’accès aux origines est maintenu, l’expérience montre que c’est moins l’identité du donneur de gamètes qui est recherchée par les demandeurs que celle des “halfies”, les enfants conçus grâce à ce même donneur. L’autoconservation des ovocytes est autorisée, mais rencontre des difficultés d’application. L’interdiction de la GPA est maintenue, de même que la Ropa et que le transfert d’un embryon post mortem.
Un bilan de l’efficacité française en matière de reproduction est esquissé.